La sexualité
des francais


L'argent

Robert Allen
Stanford

La crise de la quarantaine

Pour ceux et celles qui veulent
comprendre pourquoi


"La crise de la quarantaine...
Si j'osais être enfin "ce que je suis"...

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S’interroger sur la crise de la quarantaine, ou crise du milieu de vie,
c’est renouer avec la question existentielle…
En effet, nous sommes confrontés lors de cette période,
même si ça n’est pas toujours formulé de manière explicite,
aux questions fondamentales de l’existence,
souvent mises aux oubliettes depuis belles lurettes.

Pris entre deux feux, celui de nos bambins et celui de nos parents vieillissants,
(auxquels nous n’avons pas toujours envie de ressembler)
un certain malaise s’empare d’un bon nombre d’entre nous.
C’est par la nature de ce malaise, ses manifestations,
que cette « crise » se rapproche de celle de l’adolescence.

Cette dernière est caractérisée par la nécessité de se définir, de s’individualiser,
de se poser en tant que personne à part entière,
tâche ardue, qui nécessite généralement :

- la rupture d’avec les modèles parentaux, de manière souvent peu délicate,
voire conflictuelle, d’autant plus que l’amour
et les liens sont forts.

- La mise en place ou l’aménagement de valeurs propres,
d’idéaux, projets…

- La certitude que tous les « possibles » sont permis pourvu
que nous y mettions notre attention, notre désir.











Et enfin, la question : « qui suis-je »,
qui vient en fond sonore nous tarauder…
Le questionnement de la crise de la quarantaine
effectue un glissement, de la question
« qui suis-je ?» vers les questions
« qu’est ce que la vie ? »,
« qu’est ce que j’ai fait de ma vie ?» ,
« que sont devenus tous mes désirs ? ».

En cela, cette « crise est certainement l’opportunité, peut être la dernière,
d’aller revisiter nos engagements majeurs.
Le bilan des quarante ans. Tournés vers l’avenir,
de vingt à environ quarante ans, nous construisons :
études, travail, famille, maison…
temps d’action qui ne laisse pas véritablement d’espace pour la réflexion.

Rencontres
Au fur et à mesure les « choses » s’installent,
vient dès lors un temps de pause propice au bilan.
C’est ici que nous retrouvons l’angoisse existentielle
qui nous rappelle la crise d’adolescence :
qu’est ce que je fais dans cette histoire ?
Où sont passés tous mes possibles ?…

autant de questions, de doutes qui peuvent se lire
comme une dernière chance d’être fidèles à soi-même.
Nous avons souvent agi pour le « bien » :
satisfaire aux désirs de notre famille d’origine,
satisfaire aux influences sociales, aux désirs de nos compagnes,
de nos compagnons, correspondre à certaines images…

mais, ce « bien » là est-il véritablement le nôtre ?
Avons-nous construit « notre édifice de vie sur nos fondations
« qu’est ce que nous, en tant qu’individu, désirons véritablement, pour nous dans notre vie ?
et Lacan de nous rappeler dans l’éthique de la psychanalyse que,
la seule chose dont nous soyons coupable s’il faut parler de culpabilité
c’est « d’avoir cédé sur notre désir en tant qu’il est métonymie de notre être »
ou autrement dit, la seule chose dont nous ne soyons véritablement coupables
dans le champ des biens,

c’est de renoncer à nous pour le « bien » d’autrui !

Nous avons besoin, pour ne pas renoncer à nous-mêmes, de congruence :
congruence entre ce qui nous anime et ce que nous vivons, dans et de notre vie,
de ce capital des années passées.

suite ...















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